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Faire construire sa maison, c’est bien sûr profiter d’une construction conforme à la réglementation thermique RT2012, à savoir une maison qui consomme en moyenne 50 kWh/m2/an, qui offre confort et bien-être tout en permettant aux ménages de réduire leur facture énergétique.

Des matériaux innovants

Alors que la première réglementation thermique, celle de 1974, imposait des consommations de 225 kWh/m2/an à tous les bâtiments neufs, soit quatre fois plus que notre moyenne actuelle… il est certain que, 40 ans plus tard, la maison individuelle a totalement évolué, produisant même parfois plus d’énergie qu’elle n’en consomme !

Ultra-isolants, durables, faciles à installer, de plus en légers, les matériaux n’ont cessé de révolutionner le monde de la construction pour offrir aujourd’hui des principes constructifs innovants et des solutions performantes qui réduisent considérablement les consommations des acquéreurs.

Une maison bien exposée tout simplement

Des consommations qui sont également liées à l’exposition de la maison. Faire construire, c’est aussi concevoir sa maison en fonction du terrain et de son orientation afin d’optimiser l’apport énergétique via l’ensoleillement naturel qui peut réduire jusqu’à 30% les consommations de chauffage. Une mise en garde toutefois : se protéger du facteur solaire l’été. Si les rayons du soleil sont bénéfiques en hiver, ils ne doivent pas rendre la maison invivable lors des chaleurs estivales. Casquette solaires, brise-soleil ou encore végétaux à feuilles caduques restent des modes de protection efficaces !

Des énergies renouvelables

L’énergie solaire ne réduit pas uniquement les besoins en chauffage et en éclairage, elle peut aussi produire de l’électricité et de l’eau chaude sanitaire… Une autre façon pour les acquéreurs de réduire leurs consommations. Devenues obligatoires avec la RT 2012, les énergies renouvelables (éolien, géothermie, hydraulique, solaire) ont fait progressivement leur apparition avec les solutions de chauffage hybrides, à la fois économiques et plus respectueuses de l’environnement. Au deuxième trimestre 2016, les énergies vertes ont ainsi représenté plus de 25% de la consommation d’électricité en France*. *Panorama publié en septembre 2016 par le Syndicat des énergies renouvelables (SER)